23 juillet 2010
Je ne faisais que passer.
Je restais toujours assise sur le sable. Jamais je ne me levais, jamais. Je regardais les gens, leurs maillots plus ou moins neufs, plus ou moins démodés, tandis que des gerbes d'eau jaillissaient autour d'eux, sur leurs peaux. Et ils étaient beaux. Mais...